Le président Tanaka (à droite) et M. Glemarec

Le président de la JICA, Tanaka Akihiko, a rencontré M. Yannick Glemarec, directeur exécutif du Fonds vert pour le climat (FVC, note 1), le 8 février. M. Glemarec avait annoncé qu'il quitterait ses fonctions en mars prochain.

À l'ouverture de la réunion, le président Tanaka a exprimé toute sa gratitude envers M. Glemarec pour son rôle de premier plan et son aide dans la promotion du partenariat entre la JICA et le Fonds (Note 2).

En réponse, M. Glemarec s'est félicité de la coopération de la JICA et a souligné l'importance d'une collaboration plus poussée pour soutenir les actions des pays en développement en faveur du climat.

Les deux dirigeants ont partagé leurs points de vue sur la nécessité d'utiliser l'expertise du Japon pour promouvoir les investissements dans la réduction des risques de catastrophe (Note 3).

Note 1 : Le Fonds vert pour le climat (FVC) a été créé en 2010 en tant qu'institution opérationnelle du mécanisme de financement de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Le FVC soutient les pays en développement dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre (atténuation) et la réponse au changement climatique (adaptation).

Note 2 : La JICA est une entité accréditée qui peut utiliser les fonds du FVC pour mettre en œuvre des projets de lutte contre le changement climatique. À ce jour, deux de ces projets de collaboration avec le FVC ont été approuvés pour le Timor-Leste et les Maldives.

Note 3 : En investissant dans la réduction des risques de catastrophe, les autorités/institutions locales peuvent préserver la vie et les moyens de subsistance des habitants de la communauté et réduire le coût total non seulement de la réponse aux catastrophes, mais aussi du rétablissement et de la reconstruction.