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Communiqués de presse

15 novembre 2022

Exécution de l'accord d'activité financée avec le Fonds vert pour le climat sur le projet maldivien : Promouvoir des mesures de conservation des côtes pour répondre à la crise climatique


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Le 20 octobre, l'Agence japonaise de coopération internationale (JICA) a signé un accord d'activité financée (FAA pour Funded Activity Agreement) sur le projet de construction d'îles plus sûres et résilientes au climat aux Maldives avec le Fonds vert pour le climat (GCF)*. La signature a eu lieu en ligne entre le vice-président senior de la JICA, Ueshima Takumi, et le directeur exécutif du GCF, Yannick Glemarec, dans le cadre de la 34e réunion du conseil d'administration du GCF.


PhotoCérémonie de signature

Ce projet prévoit la mise en place d'un mécanisme de résilience au changement climatique pour la conservation des côtes et la protection contre les catastrophes futures, ce qui permettra d'améliorer la résistance face aux aléas et la sécurité aux Maldives. Ce faisant, il contribuera à la réalisation des ODD 11 (Villes et communautés durables) et 13 (Mesures relatives à la lutte contre le changement climatique). Il s'agit du deuxième accord d'activité financé avec le GCF depuis celui signé pour le projet de gestion communautaire du paysage pour une meilleure résilience climatique et la réduction de la déforestation dans les bassins versants critiques du Timor-Est, en mai 2022.


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Lors de la cérémonie de signature, le Dr Glemarec a exprimé l'espoir du GCF que le projet rapproche les Maldives de la concrétisation de l'initiative décisive prévue dans l'intitulé du projet et qu'il devienne une étape majeure dans la réponse à la crise climatique. En outre, il a salué le concept du projet qui combine harmonieusement les moyens matériels et immatériels afin de protéger les récifs coralliens, les plages côtières et les habitations.

En réponse, M. Ueshima a souligné l'attachement profond de la JICA au renforcement de son partenariat avec le GCF. Il a poursuivi en rappelant le soutien apporté de longue date par la JICA en matière de réduction des dommages causés par les risques climatiques et la vulnérabilité au changement climatique. Pour illustrer ces propos, il a cité à titre d'exemple la coopération de la JICA pour la reconstruction après le tsunami de l'océan Indien de 2004. Puis, il a affirmé la volonté de la JICA d'intensifier l'action climatique par la planification stratégique des mesures de conservation côtière pour atténuer l'impact du changement climatique.

En conclusion, le Dr Glemarec a proposé aux participants d'exprimer leurs attentes quant à la réussite du projet en pratiquant l" «Ipponjime», une coutume japonaise qui consiste à applaudir afin de prier pour le succès, et qui a été reprise avec enthousiasme par l'assistance.

La JICA est déterminée à promouvoir les mesures de lutte contre le changement climatique en coopération avec ses partenaires au Japon et à l'étranger. Par exemple, lors de la COP27, la 27e Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, qui s'est tenue en novembre de cette année, la JICA a présenté aux participants à la conférence venus du monde entier ses initiatives, y compris son approche des co-bénéfices, qui soutient le développement social et économique tout en s'attaquant aux problèmes de changement climatique par des mesures d'atténuation et d'adaptation.

(*) Le Fonds vert pour le climat (GCF) a été établi comme entité opérationnelle du mécanisme financier de la CCNUCC en 2010. Le GCF soutient les pays en développement dans la réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre et renforce leur capacité à répondre au changement climatique.


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