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News Du Projet

2014-01-15

Renforcement des compétences des personnes clés sur le terrain (la formation pour les surveillantes des sages-femmes (du 10 au 12 et du 14 au 16 décembre 2013) et la réunion du groupe de travail sur le remplissage du partogramme (le 15 janvier 2014))

Une des activités de pilier du projet, la formation continue en soins obstétricaux et néonatals d'urgence (SONU) pour les sages-femmes a commencé en janvier 2014. Le PRECS a vérifié le nombre exact des sages-femmes de pratique et identifié environ 170 sages-femmes comme les cibles de la formation. Parce que plus de 70% des sages-femmes ont été affectées aux établissements de santé à Djibouti ville, le projet a décidé de tenir cinq formations dans la ville et une formation à chaque région (Arta, Ali-Sabieh, Dikhil, Obock, et Tadjourah) comme le plan initial.

La première formation s'est tenue pour six jours à partir du 28 janvier à la salle de réunion de l'Institut Supérieur des Sciences de la Santé (ISSS), la structure de la formation de base. Vingt-quatre sages-femmes des établissements de santé à Djibouti villes y ont participé et des encadrants de la formation des formateurs (FDF) en septembre 2013 ont donné les cours. En plus, un conseiller de gynécologue-obstétricien du Maroc a été invité dans le but de donner un cours de la consultation prénatale (CPN) et d'assister les autres formateurs.

Comme des sages-femmes de plusieurs établissements se sont réunies, il semble que la formation les a offert une occasion de l'entente. Par exemple, un sujet de la référence et la contre-référence des patients entre différents niveaux de la structure sanitaire ont suscité un grand intérêt, et quelques sages-femmes ont montré une intention d'avoir des concertations régulièrement sur ce point parmi elles.

Après que cinq formations à Djibouti ville ont été terminées, le projet a entrepris la formation dans les régions à partir en juin 2014. Dans les hôpitaux de districts, les médecins spécialistes tels que le gynécologue-obstétricien ne sont pas affectés normalement et les blocs opératoires étaient fermés en raison de manque des ressources humaines et des équipements. Par conséquent, des cas d'accouchement à risque doivent être transférés à la maternité de Djibouti ville et il n'est pas rare que la vie des parturientes et des nouveau-nés est en péril par les soins inappropriés ou le retard d'évacuation. Il est, par conséquent, important que la formation effectuée par le projet réponde ces besoins des régions.

Le programme de la formation continue en soins obstétricaux et néonatals d'urgence (SONU) est commun en principe pour toutes les sages-femmes à Djibouti, mais le projet a modifié le calendrier de la formation aux régions et augmenté les heures de pratique pour la ventouse et l'aspiration manuelle intra-utérine (AMIU) ainsi que la réanimation d'adulte et de nouveau-né en tenant compte le milieu de travail des sages-femmes des régions qui n'ont pas beaucoup d'occasion pour pratiquer ces techniques.

La première formation dans les régions s'est tenue à Arta et six sages-femmes y ont assisté. La formation en petit groupe et en présence de la surveillante comme la co-facilitatrice était efficace pour les sages-femmes d'Arta d'approfondir leurs connaissances dans l'atmosphère intime. Dans le cours de pratique, beaucoup de sages-femmes ont eu du mal au début, mais elles ont fait des progrès graduellement. Il paraît que la formation les a données une nouvelle occasion d'apprentissage.

Le projet continuera de mettre en œuvre la formation dans les régions, et parallèlement entreprendra le suivi pour les formateurs et la révision des outils pour améliorer la qualité globale de la formation.

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